- EAN13
- 9782848654201
- ISBN
- 978-2-84865-420-1
- Éditeur
- Sarbacane
- Date de publication
- 05/03/2011
- Collection
- Albums
- Nombre de pages
- 64
- Dimensions
- 32,2 x 24,2 x 1,2 cm
- Poids
- 720 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 803
- Fiches UNIMARC
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Offres
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16.90
Imaginé durant mes études mais réalisé bien plus tard, je souhaitais écrire une histoire qui mette le jardin à l’honneur. Tout comme le musée de L’ange disparu, je me suis amusé à créer un jardin idéal en mélangeant des inspirations réelles, ceci ayant pour but de présenter aux enfants la nature d’un jardin classique. Ayant pris pour base les proportions du jardin de Vaux-le-Vicomte, chef d’œuvre de André Le Nôtre, j’ai mélangé des éléments des plus grands jardins d’Europe, comme celui de Villandry ou de Stourhead en Angleterre, mais aussi celui de la Villa d’Este à Tivoli, ce qui a été l’objet d’un fabuleux voyage d’études. Mais un décor aussi fourni soit-il ne suffit pas à faire un livre. Comme les jardins classiques possèdent une forte dimension romantique, ce livre était un bon prétexte pour aborder un thème nouveau, celui de la rencontre amoureuse.
Flora, une petite fille de la ville passe le week-end chez sa grand-mère. Intriguée par une curieuse marguerite en argent torsadée, elle part au château de la Tour Mirandole pour demander l’origine de cet objet mystérieux. Mais alors qu’elle a le dos tourné, c’est un petit garçon au caractère bien trempé qui va lui dérober son objet fétiche. Il s’agit de Paolo, le fils du jardinier. Celui-ci va alors expliquer à Flora que cette marguerite en argent serait la clé pour retrouver un cadeau extraordinaire, enfoui il y a plus de deux siècles par le comte de la Mirandole pour la belle Marguerite de la Rivière, quelque part dans ce jardin.
Outre les références iconographiques à la mythologie gréco-latine, c’est avant tout le langage des fleurs (présenté en pages de garde) qui permet de comprendre la véritable trame symbolique de l’histoire et la relation romantique et conflictuelle qui unit les deux enfants.
Flora, une petite fille de la ville passe le week-end chez sa grand-mère. Intriguée par une curieuse marguerite en argent torsadée, elle part au château de la Tour Mirandole pour demander l’origine de cet objet mystérieux. Mais alors qu’elle a le dos tourné, c’est un petit garçon au caractère bien trempé qui va lui dérober son objet fétiche. Il s’agit de Paolo, le fils du jardinier. Celui-ci va alors expliquer à Flora que cette marguerite en argent serait la clé pour retrouver un cadeau extraordinaire, enfoui il y a plus de deux siècles par le comte de la Mirandole pour la belle Marguerite de la Rivière, quelque part dans ce jardin.
Outre les références iconographiques à la mythologie gréco-latine, c’est avant tout le langage des fleurs (présenté en pages de garde) qui permet de comprendre la véritable trame symbolique de l’histoire et la relation romantique et conflictuelle qui unit les deux enfants.
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