- EAN13
- 9782211228916
- Éditeur
- École des Loisirs
- Date de publication
- 23/01/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
Voyage à Pitchipoï raconte la tragédie d'une famille juive, en France, pendant
la guerre, une tragédie qui fut celle de millions d'autres familles. En 1942,
l'auteur de ce livre avait six ans. Sa famille fut arrêtée, par des gendarmes
allemands et français, et dispersée. Le narrateur et sa petite soeur furent
d'abord confiés à des voisins jusqu'à ce que le maire du village fasse
appliquer la décision du capitaine S-S, Commandeur de la région et responsable
des mesures de répression antisémite : L'accueil d'enfants juifs dans des
familles françaises est indésirable et ne sera autorisé en aucun cas. Les deux
enfants furent alors enfermés dans une prison, puis transférés au camp de
Drancy, où la petite fille tomba malade, par malnutrition. Pendant toute cette
période, ils restèrent sans nouvelles de leur mère, qui avait miraculeusement
réussi à s'échapper et n'avait pas été reprise, malgré les portes qui
s'étaient souvent fermées lorsqu'elle avait demandé de l'aide. Après des mois
de vie clandestine, à la Libération, ils retrouvèrent leur maison. Ils ne
devaient jamais revoir leur père.
la guerre, une tragédie qui fut celle de millions d'autres familles. En 1942,
l'auteur de ce livre avait six ans. Sa famille fut arrêtée, par des gendarmes
allemands et français, et dispersée. Le narrateur et sa petite soeur furent
d'abord confiés à des voisins jusqu'à ce que le maire du village fasse
appliquer la décision du capitaine S-S, Commandeur de la région et responsable
des mesures de répression antisémite : L'accueil d'enfants juifs dans des
familles françaises est indésirable et ne sera autorisé en aucun cas. Les deux
enfants furent alors enfermés dans une prison, puis transférés au camp de
Drancy, où la petite fille tomba malade, par malnutrition. Pendant toute cette
période, ils restèrent sans nouvelles de leur mère, qui avait miraculeusement
réussi à s'échapper et n'avait pas été reprise, malgré les portes qui
s'étaient souvent fermées lorsqu'elle avait demandé de l'aide. Après des mois
de vie clandestine, à la Libération, ils retrouvèrent leur maison. Ils ne
devaient jamais revoir leur père.
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