Les nuits bleues

Une histoire d’amour au temps du confinement, une histoire contemporaine et pourtant…
Entre le style, la forme et le contenu, ce récit est à la fois surprenant, touchant et empli de douceur, même si les mots sont parfois un peu crus.
Un très beau premier roman.

Isabelle

Dans un appartement parisien, deux femmes tombent amoureuses. Une simplicité qu'on savoure autant que ces vers sublimes et sensuels.
Une parenthèse enchantée parsemée de fulgurances poétiques qu'on voudrait surligner, annoter, réécrire, lire et relire...

Julie

Promenade dans un Belleville endormi et poétique en compagnie de la narratrice, partie retrouver Sara. C’est leur première vraie rencontre, celle qui compte. Elle sera un peu hésitante, un peu étouffée et pourtant le désir est bien là. Des premiers frémissements à la jouissance, la narratrice emprunte différentes tonalités pour nous conter cette passion ardente. Un ton tantôt badin, tantôt lyrique ou carrément télégraphique. Elle joue des mots, crus ou alambiqués, chaque chapitre est un exercice de style à lui tout seul, au titre cinématographique « Barbe Bleue », « Before sunrise », « Sara sans H »...
A la fois délicat et sans détour, « Les nuits bleues » est un fougueux roman d’amour !

Un très joli roman qui nous raconte l’histoire d’un amour entre deux femmes, né au temps du premier confinement. L’histoire est un hymne à l’amour. Elle réchauffe nos cœurs ; nous apaise. Elle porte aussi en elle un militantisme qu’il est bon d’écouter et d’entendre. La langue est belle, moderne, a la fois poétique et familière. Un point lumineux parmi les livres de cette belle rentrée littéraire.